Royaume de Brestand

From MicroWiki, the free micronational encyclopædia
Jump to navigation Jump to search


Le Royaume de Brestand est une micronation fondée le 3 octobre 2021 sous le régime de la monarchie constitutionnelle, elle est située dans la région française d'Auvergne Rhône-Alpes.

Royaume de Brestand
Flag of Royaume de Brestand
Flag
Motto: Tradition, Humanisme, Solidarité
Official languagesFrench
Religion
Catholicisme
Demonym(s)Brestanien
GovernmentMonarchie constitutionnelle
• Régent
Irène F.
• Premier ministre
Raphaël P.
LegislatureSénat
EstablishmentOctober 03 2021
Area
• Total
1.07 km2 (0.41 sq mi)
Population
• Estimate
21
Calling code+33

Histoire

Brestand déclare son Indépendance le 03 octobre 2021 à 18 heures.

Il y a deux populations différentes : l'une est sur une base immatérielle (discord) et l'autre est sur un territoire . Cependant, les deux ne sont que vaguement au courant de l'existence de l'autre. Deux jours après la déclaration d'indépendance, le Royaume se dote de sa constitution et de ses symboles.

Première Guerre d'Alphain

Le 12 octobre 2021, Brestand est attaqué par le Royaume d'Alphain. Le roi Thermidor Ier signe la déclaration de guerre à l'ambassade à 20 heures.

Il forme en quelques jours une coalition de quatre micronations alliées (Rép. Populaire de Medici, République de Kepronie, Shatidom d'Aulpanne et Royaume de Brestand), baptisée "Nouvelle-Entente".

Le conflit ne dura pas plus de 4 jours : Alphain capitule le 17 octobre suite à une attaque destructrice de Brestand, grâce à son soldat-espion François. Le traité de paix est sévère (la guerre étant injustifiée) : Alphain perd 90% de son territoire et 50% de sa population s'exile. Le territoire alphanien est sectionné en plusieurs zones d'occupations qui passent sous le contrôle des micronations de la Nouvelle Entente. La République d'Alphain est proclamée et est dirigée totalement par le pouvoir brestanien. Cet État sera ensuite abandonné et officiellement dissous par Brestand le 5 novembre 2021.

Bilan de la guerre
Royaume d'Alphain Royaume de Brestand
Espace numérique totalement détruit par la guerre Espace numérique indemne grâce à une défense forte
La moitié de la population alphanienne exilée suite aux raids incessants des forces brestaniennes 5 citoyens numériques exilés suite à la guerre
Perte totale d'indépendance et exil du dictateur Ressources militaires d'Alphain récupérés ; population soudée grâce à la guerre

Courte dictature militaire post-guerre

Le soldat-espion François, considéré alors comme le héros national et le vainqueur de la guerre, gagne les élections générales sous la bannière du Parti Monarchique du roi Thermidor Ier. Ce dernier nomme François Premier ministre.

Le nouveau Premier ministre obtient les pleins pouvoirs sous prétexte de devoir stabiliser le pays, soit-disant ravagé par la guerre. Après ce qui est aujourd'hui considéré comme étant un coup d'État militaire, le soldat-espion instaure une effroyable dictature et retire tous les pouvoirs au monarque, qui ne peut plus reprendre le contrôle de la situation.

Les anciens alliés de Brestand de la Nouvelle Entente (à l'exception du Shatiom Aulpannien) se ré-unissent contre la dictature militaire brestanienne et fournissent un soutien logistique à Thermidor Ier afin de libérer le territoire numérique. Le refus d'Aulpanne de participer à la libération a encore des conséquences aujourd'hui.

François est congédié et exilé.

Changements politiques & Conflit aulpannien

Le 14 novembre, sous prétexte de devoir protéger la monarchie qui serait en "grave danger" après la chute de la dictature militaire, le roi Thermidor Ier, à la demande de sa "reine" (qui n'est pas reconnue comme telle aujourd'hui) proclame le Second Royaume, allouant tout pouvoirs au monarque. Ce changement ne suscite pas de contestations de grande ampleur.

En parallèle, Aulpanne perd sa zone d'occupation d'Alphain suite à des problèmes internes. Les tensions, qui commencent à la libération contre la dictature brestanienne, atteignent leur apogée. Le roi Thermidor Ier lance une discrète opération d'espionnage contre Aulpanne, estimant qu'ils n'étaient plus "dignes de confiance". Cependant, le 16 novembre, un espion brestanien est reconnu et arrêté à Aulpanne.

Le roi Thermidor Ier lance une vive contestation, exigeant le retour de ce "citoyen brestanien" sur le sol numérique aulpannien.

Le 17 novembre 2021, Aulpanne signe la déclaration de guerre à l'ambassade de Brestand. Malgré un traité de paix signé trois jours plus tard, les hostilités continuent pendant deux mois jusqu'au 5 décembre où Thermidor Ier, voulant en finir avec cette guerre quel qu'en soit le prix, fournit un soutien militaire aux communistes aulpanniens qui prennent le pouvoir ce jour. L'épisode baptisé "la guerre civile aulpannienne" débute alors, avec un soutien en matière militaire et de renseignements, toujours plus important de Thermidor Ier - pourtant anti-communiste - aux communistes aulpanniens. "Pokkoli", ancien Brestanien (communiste), devient président de la République populaire socialiste d'Aulpanne. Il entame une politique de répression violente envers les shatidomistes, qu'il considère "fascistes".

Le 14 novembre, la "reine" est condamnée pour haute trahison ("coopération avec l'ennemi" (aulpanniens shatidomistes)) par le roi. Ce dernier veut se débarrasser de ses symboles et restaure la monarchie constitutionnelle.

Deuxième guerre d'Alphain

Le 8 décembre, l' État Alphanien est proclamé et déclare une nouvelle guerre à Brestand au nom de la "libération nationale".

Chaque jour, des attaques ont lieu de la part de l'Armée royale brestanienne alors qu'Alphain, à l'agonie, mal préparé et isolé, bien qu'en train de lancer des attaques, ne parvient pas à percer la défense de Brestand.

Finalement, grâce au roi-soldat Thermidor lui-même, la dictature d'Alphain est renversée et la paix est signée avec le nouveau Gouvernement, sous le contrôle d'un Brestanien proche du pouvoir royal.

Imperium : nouvel ennemi plus résistant

Le 18 décembre, une organisation (numérique) hors-la-loi fait son apparition et s'attaque aux micronations numériques, dont Brestand lors d'une attaque déjouée. Une coalition intermicronationale de 13 micronations est formée : on y retrouve la résistance aulpanienne anti-communiste, Aulpanne "communiste", et les micronations de l'ancienne Nouvelle Entente ; mais les coalisés manquent de coopération. Néanmoins, grâce à un accord fait dès le début du conflit, aucune micronation ne capitulera seule face à l'Imperium malgré les attaques continuelles qui font des dommages : exil de beaucoup de citoyens micronationaux, provoquant l'affaiblissement de la puissance et du moral de ces micronations ciblées.

Tandis que certaines d'entre elles - qui n'ont pas été attaquées - trahissent les autres en se réfugiant dans l'isolationnisme, Brestand combat seul (avec le soutien des micronations les plus proches de lui) cette organisation, principalement via son service de renseignements.

La République de Thefernus, dirigée par son président Thefern, ami de Thermidor, est active dans le conflit mais ce dernier s'enlise. Thermidor Ier veut prendre le dessus et prend la décision de dicter à son plus proche Général, Olivier Brodor, de réaliser un coup d'État à Thefernus afin que cette dernière soit sous le contrôle direct du pouvoir royal brestanien et donc facile à mobiliser pour des attaques conjointes. L'opération est un succès total. Cette décision est restée secrète et ne sera dévoilée presque qu'un an plus tard, lors de la publication du Rapport Irène I.

Le 9 janvier 2022 est la date considérée comme celle de la fin des attaques de l'Imperium et comme celle de la victoire des micronations, dont Brestand ; malgré le fait qu'aucun armistice, trève, ou paix n'ait été signé.

Aulpanne & isolationnisme brestanien

Fin 2021, le roi Thermidor Ier retourne sa veste et fournit du soutien en matière militaire, logistique et de renseignements à la résistance shatidomiste aulpanienne, pourtant toujours conduite par le même dirigeant. La résistance aulpanienne pousse à l'exil massif les ciotyens de la République populaire socialiste d'Aulpanne dans l'optique d'affaiblir celle-ci.

Le 5 janvier, "comme Thermidor Ier l'avait prévu" dira-t-il plus tard, le Gouvernement communiste d'Aulpanne s'effondre, et la paix durable s'installe.

Les shatidomistes reprennent le pouvoir avec un nouveau dirigeant appelé "Sebastien Karchevok", qui se veut pacifiste et coopératif. Brestand accepte d'aider Aulpanne et de lui offrir un soutien diplomatique.

Cependant, on reproche à Brestand d'être une micronation "guerrière" et agressive, en raison des conflits menés et tous remportés par Brestand contre des "dictatures impitoyables, réactionnaires et néo-nazies", dira Thermidor D. plus tard. De plus, ce dernier avance que ces guerres ont été menées pas seulement pour protéger Brestand, mais aussi pour protéger les autres micronations auxquelles il tient.

Dans cet élan, l'Organisation des Micronations Francophones Unies, dont Brestand est l'une des micronations fondatrices, exclut la micronation de cette Organisation.

Le 5 janvier, aux élections générales, Thermidor Ier promet un isolationnisme "intégral", dans le but de protéger le pays qui a "assez enduré rien que pour les autres", selon lui. Son parti, le Parti Monarchique, remporte les élections et le Premier ministre monarchique met en place cette politique très critiquée, notamment du côté des citoyens physiques. Toutefois, Thermidor Ier ne compte pas abandonner ses micronations alliées et signe un décret offrant une garantie à Médici, Fronecos et Aulpanne qu'ils seront défendus en cas d'attaque.

Ces élections seront marquées par un succès inattendu du Parti Communiste Brestanien (PCB) qui reccueille 44% des voix. Peu après, le roi Thermidor Ier signe la très contestée loi sur l'interdiction du communisme et du fascisme, le PCB se renomme "Parti socialiste républicain".

Naissance de la République & Retour de l'Imperium

Le 7 février 2022, les élections générales placent en tête le Parti socialiste républicain, après un bilan jugé "désastreux" pour Thermidor. C'est la première fois depuis l'indépendance de Brestand que le Parti Monarchique ne remporte pas les élections.

La Première ministre Julie obtient les pleins pouvoirs pour "refonder la micronation", à la suite de quoi la jeune République de Brestand est proclamée, plaçant à la tête du Gouvernement Julie en tant que Chancelière, et à la tête de l'État Thermidor D., qui devient Président constitutionnel. La loi sur l'interdiction du communisme et du fascisme est abrogée.

Le 25 mars, alors que la Chancelière est réélue en début de mois, l'Imperium fait son retour. Cette fois-ci, le Gouvernement tente de gérer la situation militaire mais le président et Maréchal Thermidor prend seul la charge de combattre pour Brestand en prenant le contrôle de tout l'arsenal militaire numérique.

Le Gouvernement de Julie, n'ayant accès à la force armée, joue de son côté la carte diplomatique en réalisant un exploit historique le 7 mars 2022 : Brestand entre à l'Organisation des Micronations Franophones Unies (OMFU).

Autour du 20 mars, les services de renseignements brestaniens démasquent Pokkoli, ancien président d'Aulpanne "communiste" et Julie, actuelle chancelière brestanienne, comme des complices directs de l'Imperium. Immédiatement, Thermidor Ier mobilise la décision d'urgence de suspendre la Chancelière qui est ensuite jugée et exilée de force.

Une énième guerre non-voulue fait rage et le peuple de Brestand montre sa farouche colère. Thermidor Ier prend la décision historique, le 25 mars, de "dénumériser" Brestand de manière immédiate. Cette nouvelle est reçue comme le Messie par les citoyens physiques, qui se voient alors comme le centre de l'attention.

IIIe Royaume & Boulversement du paysage politique

Alors que le Chancelier Robert R. monte au pouvoir, le paysage politique se boulverse :

- Le Parti socialiste républicain redevient le Parti Communiste Brestanien, qui gagne de plus en plus de soutiens

- Le Parti républicain fait sécession du PCB mais ne reçoit que très peu de soutiens

- Le parti Conservateurs Brestaniens fait sécession du Parti Monarchique, lui-même devenu le Parti Libéral-Conservateur, qui assiste à une radicalisation en étant désormais classé, lui et son président Thermidor D., à l'extrême droite.

La République est abattue par les royalistes Conservateurs Brestaniens qui gagnent les élections le 8 juin. Aussitôt, la monarchie constitutionnelle démocratique est rétablie et le roi Raphaël Ier monte sur le Trône.

La dérive à l'extrême droite de Thermidor devient flagrante lorsque celui-ci fait voter de justesse une loi jugée "homophobe", qui reçoit finalement un veto du roi. Pour tenter malgré tout de souder les conservateurs, le roi Raphaël Ier tente une réconciliation avec Thermidor D. à qui il lui offre le poste de Maréchal de la nation, Chef d'état-major et Commandant suprême de la Garde nationale, renommée ensuite Garde royale.

Le roi se rend compte de son erreur irréversible lorsque le Maréchal Thermudor utilise la Garde royale pour attiser des violences politiques. Le 15 juillet, il impose illégalement au roi, au moyen de la Garde royale qui le soutient, d'abdiquer et Thermidor Ier redevient roi. Il impose une monarchie absolue qui durera 5 mois : la dictature royale et militaire commence. Un culte de la personnalité tente de se mettre en place : le 15 juillet, jour du coup d'État de Thermidor, est proclamé la deuxième Fête nationale brestanienne.

La dictature royale est aussi réactionnaire et discriminatoire : l'homosexualité devient illégale le 30 août 2022.

Tensions avec Neustrie : aux portes d'une nouvelle guerre

Le 28 août, Thermidor Ier attaque personnellement le Premier ministre récemment élu de la Principauté de Neustrie en exigeant sa démission. Le Premier ministre neustrien répond courageusement et loyalement, ce à quoi le roi rétorque en menaçant d'entrer en guerre contre la Principauté pour "lutter contre la décadence de la France", faisant allusion à la bisexualité du Premier Ministre Neustrien, Wildrid Orochi.

Thermidor Ier annonce des exercices militaires dans le but d'intimider la Neustrie qui ferme ses frontières et met en place l'État d'urgence. La République de Fiera du président Rocco Venti et le Shatidom d'Aulpanne du shatidan Sebastien Karchevok interviennent en tant que médiateurs et persuadent Thermidor Ier de signer les Accords de Labour - portant le nom de la région autonome Brestanienne - mettant fin à la crise.

Pourtant, le roi Thermidor brise ses engagements et attaque sans déclaration de guerre la République de Fiera et la Principauté de Neustrie le 26 septembre 2022, ne suscitant pourtant aucune réponse de ces deux micronations. Neustrie qualifiera cette attaque d'"attentat" et Fiera d'"actes irréversibles".

Fin de l'ère Thermidorienne

Le 3 octobre 2022 : un an, jour pour jour, que Brestand est une micronation, sa population demande pacifiquement la fin de la dictature et la modernisation politique et sociétale. Le roi Thermidor accepte mais ne tient pas ses promesses.

Finalement, un Collège citoyen vote illégalement, le 23 novembre 2022, l'abdication de Thermidor et sa fin définitive de ses fonctions à la tête de l'État. Le Gouvernement provisoire de transition démocratique se forme, avec à sa tête le communiste Victor M., qui organise des élections grâce auxquelles Irène F. est élue Régente du Royaume à 57.3% des voix face à Thermidor D. Première femme cheffe d'État de l'Histoire de Brestand. Thermidor D. perd son titre de Maréchal et la loi sur l'illégalité de l'homosexualité est abrogée.

Le 29 décembre 2022, Thermidor D. annonce son déménagement imminent et qu'il devra rompre définitivement les liens avec Brestand, micronation dont il est le fondateur.

Le 1er janvier 2023, la Régente Irène F. publie le Rapport Irène I, déclassifiant un grand nombre de secret d'État concernant Thermidor D. pour dénoncer les excès de celui-ci. Cette date symbolique marque l'entrée dans une nouvelle ère, qui commence le tout premier jour de l'année 2023.

Territoire

Le territoire de Brestand est petit, il fait 1.07km, sois 6 fois moins qu'Aulpanne ou 8 fois moins que Fronecos. Cependant, il a beaucoup de ressources et se situe dans une zone facile à exploiter, le territoire a beaucoup évolué depuis le 3 octobre 2021.

Relations intermicronationales

La politique étrangère Brestanienne va être complètement réorientée durant le mandat de la Régente Irène F.

Économie

La devise monétaire de Brestand est le Brestin. Cependant, elle ne sert plus à grand-chose si ce n'est des évènements culturels ou durant l'été ; mais l'hiver, les commerces restent fermés et l'économie est est gelée - à tous les sens du terme -, la vraie devise officielle et utilisée à Brestand est l'Euro, car Brestand produit peu et achète beaucoup à l'extérieur. Un seul impôt, instauré durant la dictature thermidorienne, est en vigueur à Brestand.

Politique Intérieure

Composition du Sénat :


Alliance gouvernementale :


ALLIANCE NATIONALE ET CATHOLIQUE DE BRESTAND :

"Parti Thermidorien" - "Conservateurs Brestaniens"










Gouvernement actuel :

--> Gouvernement Loquers III :

Premier ministre : Mathys L. (Chef du Parti Thermidorien)

Ministre du Territoire physique : Théo M. (Parti Thermidorien)

Ministre de la Culture : Lucas M. (Parti Thermidorien)

Ministre de l'Économie, du Travail et des Finances publiques : Franck T. (Parti Thermidorien)

Ministre de la Défense : Olivier B. (Parti Thermidorien)

Porte-parole du Gouvernement : Jeanne L. (Conservateurs Brestaniens)

Partis politiques et culture politique

- « Liberté ! » : cheffe : Irène F. Classé au centre/centre droit. Formé du Parti franco-brestanien, principal parti républicain de Brestand.

- « Mouvement socialiste » : chef : Victor M. Classé à gauche/ extrême gauche. Récemment formé du Parti Communiste Brestanien et du Parti Socialiste.

- « Conservateurs Brestaniens » : chef : Raphaël P. Classé à droite (droite conservatrice et sociale). Formé par la dissociation des conservateurs radicaux de Thermidor et des conservateurs modérés, qui étaient tous deux dans le même parti.

- « Parti Thermidorien » : chef : Mathys L. Classé à droite/extrême droite. Premier parti existant de Brestand regroupant autrefois toute la droite/centre/gauche modérée Brestanienne, qui ne s'opposait qu'au parti Communiste (lorsque le parti s'appelait "Parti Monarchique").

Armoiries